Il s'agit de se pencher sur la question de savoir si la flambée de l'épidémie peut justifier la réalisation d'essais cliniques en urgence avec des molécules n'ayant jamais été testées sur l'homme. D'autre part, il s'agit également de déterminer quelle serait les règles d'inclusion, compte tenu de la rareté des médicaments à tester, si un bénéfice direct pouvait être espéré.
Est-il conforme à l’éthique d’utiliser ces interventions non homologuées dans les circonstances précédemment mentionnées ? Dans le cas positif, quels critères devraient guider le choix de l’intervention et qui devrait bénéficier prioritairement du traitement ou de la prévention ?
"Nous sommes face à une situation inhabituelle avec cette flambée. Nous devons affronter une maladie avec un fort taux de létalité, contre laquelle nous n'avons ni traitement, ni vaccin ayant fait ses preuves" déclare le Dr Marie-Paule Kieny, Sous-Directeur général de l'Organisation mondiale de la Santé.
Lire sur le site de l'OMShttp://www.who.int/csr/disease/ebola/ethics-panel-discussion/fr/http://www.who.int/csr/disease/ebola/ethics-panel-discussion/fr/
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Page mise à jour le : 07/04/2025 (17h17)
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